Arkys Adaela

Je voudrais avant tout remercier Unmei pour l’aide qu’elle ma apportée et les petites corrections, ainsi que pour avoir rendu la photo plus ... présentable. N’ayant plus de scanner, j’ai du passer par un appareil photo, mais les couleurs ont été un peu altérées
Et pour la comparaison, j’ai laissé l’ancienne réf, vous allez voir, y a un monde entre les deux 8D

Nom : Adaela.

Prénom : Arkys, qui traduit veut dire fléau.

Sexe : Mâle.

Âge : 527 ans, Né le 17 Août de l’année 23 268.

Alignement : Réputé pour être mauvais, bien qu’il ne soit pas aussi maléfique que les rumeurs colportées par ses opposants le prétendent. Cependant il sait tirer bien des avantages de sa réputation pour arriver à ses fins.

Taille au garrot : 4 mètres 68.

Pouvoirs : Arkys est un maître incontesté dans la maitrise de l’élément du feu, et l’un des mages les plus puissants. Sa force dépasse l’entendement, peu sont aptes à le défier et ainsi il impose respect et terreur. L’un de ses pouvoirs qu’il affectionne, bien qu’il ne soit guère destructeur et élaboré, est celui de rendre ses pattes brulantes, laissant derrière ses pas de petites flammes.

Histoire : Avant la lecture de l’histoire, il y a une grande partie qui introduit aussi l’univers dans lequel Arkys vit, ainsi que Gheata.

Avant même d’évoquer la naissance du dragon, il faudrait commencer par parler des origines de son peuple, les dragons. Les premières graines quant à la venu de ces reptiles cracheurs de feu furent plantées bien avant l’éclosion du premier de leur race. Il faut remonter en des temps immémoriaux, où les humains dominaient encore ce monde en maitre absolu. Jusqu’à la terrible année de 2018,
Ce fut en cette année que les éruptions volcaniques et les séismes qui décimaient le monde depuis quelques années déjà atteignirent leurs paroxysmes. Et couplé à l’effondrement temporaire du champ magnétique protecteur de la Terre, à cause de son inversion. Ces catastrophes durèrent plusieurs siècles. Et dès la première année, la majeure partie des terres fut privée de la lumière solaire, plongée dans des ténèbres perpétuelles à cause des cendres volcaniques noirâtres qui masquait l’astre du jour, ce qui ne fut pas totalement un mal, puisque les radiations nocives n’étaient que plus nombreuses à venir bombarde le sol de la planète bleu. Mais bien évidement, cela n’eux que pour conséquence de conduire à un changement climatique brutale, ce qui ne fit qu’aggraver la situation.
Rapidement la majorité des plantes terrestres furent sur le déclin, notamment celle cultivé par les hommes. La nourriture entra en liste des ressources rares, ainsi que l’eau potable. Il en fut de même pour les ressources énergétiques servant à faire fonctionner l’appareil le plus basique. Les principaux centres de production d’énergie étaient soit en ruine, malmenée par les multiples catastrophes, où tout simplement à l’abandon par manque de ressource pour les alimenter. Plus d’électricité, et avoir encore un peu d’essence était un privilège qui attirait les convoitises.
L’humanité, qui avait jusque là, profité d’un cadre de vie plus que confortable grâce à sa science et sa technologie, fut prit au dépourvu par cette transition brutale. Jamais elle n’avait connu un environnement qui lui était aussi hostile. Famines et maladies ne tardèrent pas à ronger ceux qui avaient eu la chance de survivre aux séismes et autres catastrophes naturelles.
Il fallut moins d’un siècle pour que la civilisation tombe en ruine, et que sur les sept milliards d’humain qui vivait sur ce monde, il n’en restait qu’une poigné. Les rares individus restant firent place à une descendance cependant, qui au file des générations, oublièrent l’empire que leurs ancêtres avaient fondés, n’ayant que pour but de survivre. Au fils des millénaires, la race humaine évolua en une autre, et quand les conditions hostiles eurent disparues, laissant place à un monde nouveau débordant de vie, ils avaient tout oubliés de leur passé, où seul les ruines d’ancienne métropole tentaculaire n’étaient que les seuls vestiges.

Mais vous me direz, quel lien avec les dragons ? Et bien, il s’avère que le vivant transcende la matière dont il est constitué. En chaque être, en chaque forme de vie, naquit une source d’énergie dont il n’a pas pleinement conscience. Une énergie qu’on retrouve chez tous, de la bactérie la plus insignifiante, jusqu’au organisme les plus complexes, aucun n’y échapper, plante, animaux, tous dispose de cette énergie, qui dépasse les lois de la physique.
C’est de cette énergie propre au monde vivant, que naquit ce qui dépasse les simples fonctions biologiques et que la biologie moléculaire est incapable d’expliquer concrètement. Elle est à l’origine de ce qui caractérise la vie, cette capacité à aller toujours de l’avant, de repousser toujours plus loin les limites qu’on lui impose. D’avancer vers un but. Et pour les êtres plus complexes, cette énergie est à la source des sentiments, de la réflexion, de la contemplation du monde et la manifestation artistique, et même des rêves. On pourrait même dire qu’elle est le support de l’âme.
Or quand un être meurt, cette énergie se dissipe bien rapidement, ne laissant plus aucune trace de l’individu. Mais quand ceci sont des milliards à sombre dans les ténèbres, l’énergie de chacun se mêle à celle des autres, perdurant nettement plus longtemps, et plusieurs millénaires sont nécessaire avant que cette masse ne se dissipe définitivement. Ainsi malgré la mort, ce qui caractérisait le plus les défunts perdure, les moments de leurs vie les plus marquant, enfuit au plus profond de leurs mémoire, leurs plus grande peurs, idées et rêves restent, tel des spectres. Et quand l’humanité sombra, elle fut accompagnée par d’innombrable forme de vie, ainsi leurs rêves étaient encore en vie.

Sauf qu’il n’est guère bon pour les vivants de se frotter à une telle masse énergétique, car elle s’insinue dans les corps, les altérants au plus profonds et de l’être et de leur âme au fil des siècles. Beaucoup y succombe, mais certaine également y survive, transformé à jamais celons les rêves des morts. Ainsi naquirent les dragons, une race qui avait marqué l’imaginaire humain, et qui par le sacrifice de ce peuple, permit à ces imposants reptiles de voir le jour.
Ils partirent à la conquête de ce monde nouveau, car oui, la Terre n’était plus celle qu’elle avait été autrefois, changé à jamais, altéré par l’énergie résiduel des morts. La planète était redevenue un monde sauvage, où la vie avait reprit sa place et ses droits. Les dragons durent se partager et se disputer ces vastes contrées verdoyantes avec d’autres races émergeantes. Et tendit que les dragons régnaient sur le ciel, les autres fondèrent de nouvelles civilisations.
Bien que très différente de celle des humains, il n’était point question de recherche scientifique abusive et poussée, ou de développement technologique. Car ces nouveaux êtres maitrisaient davantage l’énergie de la vie que leurs prédécesseurs humains. En plus des capacités cognitives et d’une conscience égale à celle des hommes, ils y avaient gagnés un don supplémentaire, celui de manipuler la matière et l’environnement par la pensée en usant de l’énergie qui les habitaient, ce qu’on peut nommer la magie. Bien que la grande majorité gardait des capacités très limité dans ce domaine, surtout qu’un effort trop grand pouvait couter la vie du mage qui avait surestimé ses forces.

Et alors que chaque espèce, ayant formée divers clan et nation, faisant leur route chacun de leur côté, où se mêlait querelle, dispute et guerre pour différentes ressources ou territoires. Une race de dragon bien particulière émergea à son tour avec le temps. Ceux-ci disposaient d’un organe particulier, aussi dur que leurs écailles. Cet organe permettait à ces dragons de récupérer en eux l’essence vitale des morts. Servant à l’origine pour permettre au dragon de se réfugier et ne pas sombrer dans l’oublie si son enveloppe charnelle venait à périr, où à ses frères et sœurs de le recueillir pour conserver une trace de son âme. Mais ils étaient également capables de collecter l’âme de toute autre forme de vie, et cet ajout les rendaient également plus puissant quand il s’agissait de faire usage de magie.
Ceux qui attira la convoitise de personne mal attentionné, et ces dragons réalisant leurs propre puissant, et du danger quelle représentait, décidèrent de s’exiler du monde pour le préserver. Leur nouvelle demeure fut toute choisit, car personne ne serait apte à les retrouver. Car oui, depuis des temps immémoriaux, il y avait toujours eu cet astre flottant au dessus du monde, considéré par les autres races comme demeure des dieux. Ainsi, grâce à leur puissante magie, les dragons porteurs des cœurs, nom donnée à cet organe si particulier, mais qui n’a rien à voir avec un cœur traditionnel, s’exilèrent dans une cavité parcourant l’une des stalactites géantes ancrées sous la base de l’astre volant au dessus de l’océan. Ils y recréèrent un environnement viable, pour se consacrer à une vie de médiation, de compréhension de la magie, et d’observation des deux mondes grâce à la simple force de leur esprit.
Sur la Terre, l’existence de ces dragons passa au rang de légende avec le temps, pour sombrer dans l’oublie et disparaitre de la mémoire collectif, et seul de rares sages détiennent ce secret, qu’ils ne partagent qu’en de rare occasion.

Cependant, les dragons porteurs des cœurs, firent une découverte sur la nature du monde flottant depuis leur repaire. Projetant leurs esprits, ils comprirent que ce monde n’avait rien de naturel, et encore moins de divin.
Oh que non, ce monde cachait à l’intérieur même, des humains ! Bâtît à l’insu de la population, les gouvernements humains, conspirant depuis des décennies, ayant comprit que leur monde était sur le déclin, avait orchestré ce projet fou, pour permettre leurs survie. Révélé au grand jour, lorsque là fin fut toute proche, et la population ignorant, ne fit que croire aux mensonges servit par leurs chefs. Car oui, l’astre était bien trop petit, et seul une infime partit de la population pouvait espérer survivre. Deux cents millions d’être humain, trié sur le volet par des critères plus que scandaleux, dans le seul but de préserver l’humanité et sa civilisation, et ceux, sur le massacre de sept milliard de leurs frères et sœurs, abandonnés à leur triste destin.
Ce monde artificiel était un véritable cocon, replié sur lui-même, l’espace central de l’astre faisant office de ciel. Tout y avait été recrée pour reproduire la Terre qu’il avait connut, avec implantation de la faune et de la flore de l’époque. Ultime fragment de ce qu’était la Terre avant la grande catastrophe, il fallait préserver l’humanité, mais également la biodiversité qu’elle avait toujours côtoyée. Et sans grande surprise, ils y recréèrent la même civilisation, incapable d’user de magie, la science et la technologie dominait plus que toujours, sans cesse plus avancé. Mais ça n’avait pas empêché les hommes de nourrir une crainte superstitieuse pour l’extérieur, au début à cause des mauvaises conditions qui malmenait la Terre durant plusieurs millénaires, ensuite enrichit par l’imagination et la peur. Ainsi, nul humain sain d’esprit n’aurait voulu quitter le doux confort de leur cocon géant.

Et ainsi, trois univers évoluaient paisiblement chacun de leurs côtés, la Terre et le monde artificiel des hommes, avec entre les deux, gardiens de bon nombre de secrets, les dragons porteurs des cœurs.
Cette équilibre ne devait pas changer, si comme convenue tout les dragons repliés sous l’astre flottant, c’était tenu à cet isolement. Mais l’un des leurs, nourrir par la soif de puissance et de domination s’opposa à ses frères et sœurs draconique. Une lutte titanesque s’en suivit, mais ce déchainement de puissance ne fut pas sans conséquence.
Il ne se trouvait pas si loin du conflit, l’un des complexes géant crée par les humains dans le seul et unique but de générer de la gravité et ainsi maintenir les habitants sur la surface interne de la coque de l’astre. L’énergie déversé par les sortilèges des dragons fut captée par l’imposante machinerie qui s’emballa, pour finalement voler en éclat, et dévasta au passage tout une région du monde artificiel de part ses anomalies gravitationnelles. Il s’en tenait au miracle que la coque de l’astre ne se soit pas ébréchée, pour y laissé un trou béant. S’ensuivit chez les hommes un sentiment de peur, certain qu’ils étaient victime d’une attaque d’un monde qu'ils redoutaient. L’humanité sombra dans des heures sombres, nourrir par la peur et la haine, et une véritable chasse aux sorcières fut lancée. Les habitants de plusieurs petites villes furent déportés sous de simple soupçon pour être ensuite purgé, autrement dit chasser de leur monde, sans vraiment jamais atteindre la Terre qu’il redoutait tant. Et ce ne fut qu’après plusieurs siècles dans ce climat de terreur et d’oppression, que cette sombre période prit fin. Laissant les hommes panser leurs blessures, et finalement profiter pleinement d’une belle vie confortable dans leur cocon. Mais plus que jamais, aucun ne voulait quitter leur monde.
Mais le désastre ne c’était pas arrêté là, car sous l’impact de l’accident du générateur, l’une des stalactites se brisa, et s’écrasa dans l’océan. Le raz-de-marée qui s’en suivit dévasta les côtes. Les différentes races qui à l’instant était en lutte furent prit au dépourvut, surtout que les pertes furent lourdes. Beaucoup des êtres qui étaient superstitieux y virent la colère des dieux pour la folie des mortelles de se battre. Car le cocon artificiel des hommes était vu comme un lieu divin, et tout de sa véritable nature était inconnu sur Terre. Mais ceci finit par conduire à une collaboration entre les différentes races évoluées sur la Terre.

Mais les dragons porteurs des cœurs estimèrent avoir échoués, malgré tout leurs efforts, ils avaient contribué à altérer durablement le monde. Le dragon renégat fut châtié par les siens pour ses crimes. Obligé de réfugier son âme dans son cœur, ses frères le lui arrachèrent. Et tenant entre leurs pattes l’organe évoquant un orbe étrangement lisse, ils la brisèrent partiellement, pour ensuite la jeter hors de leur sanctuaire. Ils pensaient que se serait suffisant pour qu’il reste vivant, sans jamais pouvoir s’extirper de cette situation, condamné à rester enfermé en lui-même pour l’éternité.
Mais c’était sous-estimer sa volonté. Bien des siècles étaient passés quand un Fëlhyndris imprudent tomba par hasard sur le cœur du sombre dragon. Pensant qu’il ne s’agissait que d’une pierre précieuse, il ne fit preuve d’aucune méfiance. Et sans s’en rendre compte, il se fit corrompre par les mensonges susurré par le dragon pour finir par perdre la raison. Il n’était plus qu’un pantin sans volonté manipulé par le dragon. Sous ses ordres, il commit discrètement de nombreux meurtres, dans le seul but que l’être infâme enfermé retrouve sa puissance perdu en se nourrissant des âmes de ses victimes.
Quand les autres dragons comprirent leur erreur, ils décidèrent d’intervenir, car laisser un tel monstre en liberté était bien trop dangereux pour l’avenir du monde. Le premier dragon envoyé fut sauvagement tué par son frère qui se nourrir de ses forces, même tragique destins pour les deux qui ont suivit. Ce fut ensuite au tout d’un duo de s’y rendre, dont une dragonne, qui malgré l’éminence de sa ponte, se rendit sur Terre. Lors de l’affrontement, son compagnon périt, et se fut de justesse qu’elle réussit à s’échapper. Errant dans une région qu’un volcan dévastait couramment de ses flammes, et grièvement blessée. Elle fut contrainte de pondre dans ce lieu inhospitalité, car l’heure était venue. Abandonner son œuf fut un déchirement, mais elle se savait traquée par son adversaire, qui ne tarda pas à la retrouver, mais au lieu de la tuer, il lui réserva d’autre projet.

Et c’est ainsi que l’on arrive à notre chère Arkys, dont l’œuf fut laissé seul. Le moment fut rapidement venu pour lui de lutter contre l’épaisse coquille qui le retenait prisonnier, une lutte longue et solitaire. Et se fut au prix de l’effort qu’il réussit à s’extirper de sa cage naturel. Ses premières années furent tout aussi solitaire, parmi ces terres calcinées, entremêlé de végétation luxuriante et de ruine ancienne. Il y découvrit les joies de la chasse, ainsi qu’à se surprendre soit même par ses propres pouvoirs. Le feu comme élément de sa magie fut un choix tout naturel pour lui. Car le climat et l’environnement influençant beaucoup la magie, crée une boule de glace sur des terres arides demande bien plus d’énergie et de force que de le faire en haute montagne. Et comme Arkys grandit près d’un volcan en activité lui-même dans une région aride, ce n’était pas la chaleur et les flammes qui lui manquaient.
Le jeune dragon finit par croiser le chemin d’autres de ses frères d’écailles, qui l’intégrèrent à leur clan. Ils vivaient comme leurs ancêtres, coupés de toute civilisation, vivant dans les entrailles d’une chaine de montagne. A l’abri de ce sanctuaire rocheux, il apprit beaucoup au près de ses frères et sœurs d’écailles, à manier son souffle de feu, sa magie, où encore, à se mouvoir dans les airs comme nul autre dragon. Il participa à la défense des siens faces à des clans rivaux qui convoitaient leur antre, ainsi qu’à des individus d’autres races qui se montraient bien téméraire en leur cherchant querelle. Mais Arkys ne réalisait pas qu’à chacune de ses victimes, il récupérait un fragment infime de leur âme, le rendant que plus fort au fil des années. Tel était le commun d’un dragon de cette race, car oui, Arkys avait également un cœur, bien qu’il l’ignorait.
Le dragon qui avait prit Arkys sous son aile jugea qu’il devait le conduire face à d’autres de sa race, des dragons d’une grande sagesse, qui veillait à la stabilité et la paix entre tous sur ce continent et même au-delà. Membre d’un ordre d’élite, et unit par la magie à des membres d’autre race, qui devenaient leurs dragonniers. Car oui, il n’avait plus rien à apprendre à son disciple qui avait soif de connaissance. Les dragons de l’Ordre furent impressionné par les capacités du jeune Arkys, et se chargèrent donc de l’instruit et l’observé. Cependant, le dragon refusa catégoriquement d’avoir à se lier avec un dragonnier.
Il y fit également la rencontre de Johana, une dragonne très attaché à l’or et au bijou, fille d’un membre au placé de l’ordre. Celle-ci au fil de nombreux moment passé avec le dragon noir, parvient à séduire celui-ci, Et se fut le début d’une belle relation amoureuse.
Mais ce cadre idéal ne pouvait durer. Arkys suscitait bien des interrogations, et beaucoup sentait l’immense force qui l’habitait. Mais un seul en détermina l’origine, vous vous souvenez ? Que les dragons porteurs des cœurs avaient disparue des esprits sauf de rares sages éclairés, et dire que l’un des dragons à la tête de l’ordre connaissait ces histoires. Il comprit qu’Arkys était l’un d’eux, et il vit en lui une grande menace. Soucieux de protéger l’Ordre et à plus grande échelle, le monde, il isola le jeune dragon pour le défier. Mais Arkys se montra bien plus fort, et voulant comprendre se revirement de situation, il interrogea son opposant. Celui-ci finit par lui révéler ses origines, et se fut pour cette franchisse que le dragon noir décida de l’épargner, car rare était ceux qui pouvait se vanter d’avoir échappé aux griffes d’Arkys. Mais le dragon comprenant qu’il n’avait plus sa place ici, s’enfuit, avec sa compagne, avant que d’autre ne cherche à lui nuire.

Il retourna sur sa terre natale, un lieu vide de monde, la faute au volcan en activité. Cela ne l’empêcha pas d’y fonder son propre royaume, s’étendant sur tout ce qui était autrefois, le sud de l’Europe. S’alliant avec quiconque étant désireux de le rejoindre, qu’importe ses origines. Il soumettra à sa volonté, bon nombres de faction de Démon, un peuple tribale méconnu, réputé pour sa rare violence, ainsi, il porte ce nom plus par superstition, et reste au final une espèce comme une autre. Le dragon fit prospérer et étendre son empire, fort de son pouvoir, qui grandissait sensiblement après chacun de ses combats.
Bien sûr, il se fit de nombreux ennemis, autrement dit, tous les états voisins, qui craignaient les aspirations conquérantes du sombre dragon. Sans compté que le dragon appartenant à l’Ordre protecteur de nombreux royaume ne se priva pas de le diaboliser, clamant haut et fort qu’Arkys n’était qu’un monstre dévoreur d’âme, et qu’il ne s’arrêterait qu’uniquement quand il aurait volé jusqu’à la plus infime parcelle de vie. Ce qui était faux bien entendu, mais le dragon y croyait dur comme fer, et beaucoup ne gardèrent que cette image, qui perdure encore. Bien que le dragon de l’Ordre ne fit jamais mention du cœur.
Mais la situation resta cependant stable, Arkys veillant à consolidé les défenses de son royaume, tout en s’occupant de la bonne santé de l’économie, et de celle de ses citoyens également. Empire cosmopolite, les tensions entre les différentes races étaient courantes, les faire cohabiter restant un casse-tête sans fin, et seul l’autorité du Roi-dragon ainsi que l’intimidation qu’il exerçait malgré lui, parvenait à maintenir une certaine paix et stabilité sur ses terres.
La belle Johana fut également ravit de vivre avec l’être aimée, surtout que ce n’était pas les richesses qui lui manquait. Les deux êtres ne firent pas qu’une simple union formelle, puisqu’ils allèrent jusqu’à lier leurs âmes. Puis la venue d’un œuf fut inévitable. Bien qu’à contrecœur. Arkys prit la lourde décision de s’en séparer, il craignait pour la vie de la jeune dragonne même pas encore né, qu’on se sert d’elle contre lui, et il préférait lui offrit une enfance plus calme, dans un lieu plus idéal. L’œuf fut déposé par ses soins sur l’île de Niãrla, un lieu où le climat était certes rude, mais étant coupée du monde, la dragonne ne serait pas mêlée à toute ces implications.
Enfin, c’est ce qu’il espérait, mais le destin en jugea autrement. Et alors qu’une lourde offensive fut menée contre l’endroit même où il résidait. Et que son armée fut prit de court et décimée en grande partie. Le Roi-dragon tenait bon, nul n’était assez fort pour le vaincre. Sauf qu’elle arriva, ignorant tout de sa parenté, cette dragonne couleur de glace n’hésita pas s’en prendre au dragon. Lui en revanche, ayant reconnu sa propre fille, ne voulait en aucun cas lui faire du mal. Trop lent à se décidé, la dragonne en profita, et Arkys n’eu d’autre choix que de réfugier son âme dans son cœur pour ne pas disparaitre.

Mais le sombre dragon savait se montrer prévoyant, et avait réfléchit à l’éventualité de sa propre mort physique. Se fut Johana qui intervient, rare était ceux capable de recrée une enveloppe charnelle, en faite, il y en avait même aucun, l’idée de base étant absurde puisque d’ordinaire, l’âme disparaissait. Johana en était incapable, sa magie n’étant guère puissante de toute manière. Cependant, elle dissimula le cœur de son compagnon, dans une salle prévue à cet effet, et scellé par des sorts que le dragon avait lancé bien avant.
Arkys préférait que son cœur ne tombe pas dans de mauvaises mains, qui chercheraient à abuser de la puissance qu’il renfermait. Il avait également dissimulé à travers le monde trois artefacts qui une fois leurs magie combinée, pouvait lever les enchantements scellant la salle où reposait le réceptacle de son âme. Comme il était lié à Johana, il pouvait communiquer avec elle, et également se servir de son esprit pour projeter le sien et en contacter d’autre. Il commença par un de ses disciples en qui il avait une pleine confiance. Se fut une erreur, une fois qu’il en apprit davantage, il ne voulait plus faire revenir son maitre d’entre les morts, mais s’accaparer son pouvoir.
Mais le dragon du se résoudre au faite que la plupart de ses candidats serait davantage mués par le goût du pouvoir qu’autre chose. Son espoir finit par renaitre quand il projeta son esprit sur le monde flottant par le plus grand des hasards. Y découvrant les humains, races insensible à la magie, et incapable d’en faire l’usage, ainsi, il pouvait mettre entre leurs mains tout son pouvoir, les humains ne pourraient tout simplement rien en faire. Sauf qu’il eu beau essayer de les manipuler en communiquant avec eux discrètement, jouant sur leurs sentiments et but, mais leur peur du Bas-monde était bien trop ancrée pour qu’ils osent quitter leur cocon. Il réussit l’exploit une fois, un groupe d’humain sorti de l’astre, la nuit, par un épais brouillard, l’espace d’une heure seulement. Le chef du groupe, sous l’influence du dragon, désirait s’approprié une sculpture ancien pour sa collection personnel. Le geste du dragon ne fut pas désintéressé, car cette sculpture contenait l’un des artefacts, et il espérait ainsi contrer ceux qu’il avait informés par erreur et qui ne cherchaient que plus de puissance.
Et puis, il y eu la venu de cet humain, tout droit venu du passé, il avait vécu la fin de son monde, et pour survivre, avait traversé les millénaires dans un sommeille de glace, grâce à l’une de leurs machines étranges. Qu’importe, ça venu était providentiel, Arkys l’aiguillant sous forme de vision sans se montrer pour le conduire sur le chemin qu’il voulait, tout en mettant sur sa route les bonnes personnes. Il fut amusant de noter qu’il croisa la route de Johana, la dragonne ayant fuit le royaume de son compagnon, car depuis la mort d’Arkys, les conflits régnait en ce lieu, et il n’était guère sur d’y résider. Cependant, la dragonne fit profiter de son don à cet humain, lui présentant une vision énigmatique de l’avenir.
Alors que la sphère lumineuse éclairant le monde sombrait à jamais dans les ténèbres comme dévorer de l’intérieur, le sombre Roi-dragon reviendrait parmi les vivants au cœur d’un déluge de flamme.